Avare des mots doux que j’entends
Bavard dans ta bouche que du vent
Tais-tais-toi
Tu n’aimes-n’aimes que toi
Moi je m’en fous-ou-ou-ou-ou-ou (ou-ou)
De tes discours-ou-ou-ou-ou- (ou-ou)
Moi je m’en fous-ou-ou-ou-ou-ou (ou-ou)
Moi je m’en fous ce soir je partirai sans toi
Trop tard
Mon regard est voilé
Une part de nous s’en est allé
Je baisse-baisse les bras
En laisse tu restes là
Moi je m’en fous-ou-ou-ou-ou-ou (ou-ou)
De tes discours-ou-ou-ou-ou- (ou-ou)
Moi je m’en fous-ou-ou-ou-ou-ou (ou-ou)
Moi je m’en fous ce soir je partirai sans toi
C’est samedi soir je sors
Et par hasard tu dors
La distance de nos corps
Est un venin qui nous dévore
J’aspire à l’harmonie des sens
Et pas à pas j’avance
Sitôt je glisse au sol et je saisis un tour de danse
Autour d’un pas léger un prince se réveille
Et sa main douce au creux des reins me tire de mon sommeil
C’est l’extase en cadence
Il fera jour demain
Cinq, six, sept, huit … hey…
Moi je m’en fous-ou-ou-ou-ou-ou (ou-ou)
De tes discours-ou-ou-ou-ou- (ou-ou)
Moi je m’en fous-ou-ou-ou-ou-ou (ou-ou)
Moi je m’en fous ce soir c’est un nouveau départ