Slimane – L’Enfant de la Rue

Paroles de la chanson "L'Enfant de la Rue" par Slimane

J’avais cinq ans à peine
Et je savais déjà
L’aiguille dans la veine
Et les bleus sur les bras
J’avais cinq ans à peine
Mais les yeux grand ouverts
Sur ce qu’était la vie
Et les larmes d’une mère

 

Ici nous savons !
La valeur de l’amour…
Ici on se prive pour sa famille et on prie tous les jours

 

Alors oui, c’est vrai
Enfant j’ai vu le blues couler sur les joues d’une femme…
Oui… C’est vrai
Mais aussi tant de « je t’aime »; en pansement de l’âme
En pansement de l’âme

 

L’Enfant de la Rue, est devenu grand
Mais il garde dans son sac
Ses poèmes d’antan

 

L’Enfant de la Rue, est devenu grand
Mais il garde dans son sac
Ses poèmes d’antan

 

Dix-sept ans à peine
Quelques morts sur les bras
Des sourires à la pelle
Pour faire genre que ça va
Dix-sept ans à peine
Et déjà dans l’urgence
De vivre à bout de rêve

 

Même vidé d’innocence

 

Là-bas j’ai appris
À ne jamais renoncer
Tomber, retomber
Mais toujours se relever

 

Alors oui, c’est vrai
Enfant j’ai vu le blues couler sur les joues d’une femme…
Oui… C’est vrai
Mais aussi tant de « je t’aime »; en pansement de l’âme
En pansement de l’âme

 

L’Enfant de la Rue, est devenu grand
Mais il garde dans son sac
Ses poèmes d’antan

 

L’Enfant de la Rue, est devenu grand
Mais il garde dans son sac
Ses poèmes d’antan

 

À l’approche de la trentaine
Je me dis que c’était le destin
Qu’il fallait que j’apprenne
Que je me rétame sur le chemin
Et si tout s’arrêtait demain
Que resterait-il ?
Si ce n’est des centaines de « je t’aime », et ma vie sur un fil

 

Et ma vie sur un fil
Et ma vie sur un fil

 

L’Enfant de la Rue, est devenu grand
Mais il garde dans son sac
Ses poèmes d’antan

Slimane-L'Enfant-de-la-Rue

Prochain concert de Slimane

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