Chimène Badi- L’usine

Paroles de la chanson "L'usine" par Chimène Badi

J’ai passé la porte sans rien dire
Sans personne pour me retenir
Le navire va sombrer

 

Demain l’usine resserre les visses
Et malgré mes loyaux services
D’office je suis viré

 

Quand on a la vie qui se tire
On court après de pire en pire
C’est dire si je suis crevée

 

Mais ça fait combien d’années passées d’après vous
Au nom de quelqu’un qui vous serre la corde au cou
Combien compté pour des clous
Ça vous fout des brulures à vous rendre fou

 

J’ai passé la porte toute à l’heure
J’ai pointé mon nom et mon cœur
Et l’heure pile a sonné

 

L’usine au bord du précipice
Ne fume plus pour ses petits fils
Et puisse t’elle les oublier

 

Quand on a la vie qui se meurt
On pleure devant les ascenseur
Et j’ai peur d’y rester

 

Mais ça fait combien d’années passées d’après vous
Au nom de quelqu’un qui vous serre la corde au cou
Combien compté pour des clous
Ça vous fout des brulures à vous rendre fou

 

J’ai presque plus rien à vous dire
J’ai trop bu mais tu peux remplir
Le navire va sombrer

 

Demain pour quelques bénéfices
L’usine me donne en sacrifice
Mon fils, on va morfler

 

Mais ça fait combien d’année passé d’après vous
Au nom de quelqu’un qui vous serre la corde au cou
Combien compté pour des clous
Ça vous fout des brulures à vous pendre
A vous pendre
A vous pendre

 

Mais ça fait combien d’année passé d’après vous
Au nom de quelqu’un qui vous serre la corde au cou
Combien compté pour des clous
Ça vous fout des brulures à vous pendre
A vous pendre
A vous pendre

Chimène-Badi-L'usine

Prochain concert de Chimène Badi

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